"'Vlà l'noeud disti l'soyeu", selon Albert Dumont (Rh. 79), ex-élève de LDD, est une expression que Louis employait quand un élève "coinçait" sur une question et qu'aucun son ne sortait plus de sa bouche... Quelqu'un peut-il confirmer ce souvenir qu'Albert communique avec quand même quelques doutes ?
Sinon, parmi les éléments de la mythologie dedonderesque, il rappelle aussi, en vrac :
- son attachement au journal (français évidemment) l'Aurore.
- son expression : "Un paillasson avec une inscription Interdit aux Mendiants et colporteurs, c'est un passeport pour l'enfer".
- quand la classe dormait, il sortait dans le couloir et rentrait en hurlant, comme son adjudant à l'armée, un tonitruant "Deuh-booooouuuuuuuuuuuuuuuu-euh !"
- l'histoire de la "roulante" (cuisine de campagne) du régiment qui était tombée dans le Demer lors de la campagne de 18-Jours, et dans laquelle il voyait représentée symboliquement toute la déroute de l'armée belge, car une armée qui ne mange pas...
Jean-Marie Klinkenberg nous écrit :
RépondreSupprimerJe confirme "vla l'noeud, disti l'soyeu" et me disposais même à en parler dans les quelques souvenirs que je rédigerai... : LDD l'utilisait bien souvent mais, dans mon souvenir, pour dire "voilà le point difficile", pas seulement lorsqu'il y avait un silence...