Photos de classe manquantes

A vos archives ! Il nous manque 5 photos de classe (sur 28) des années scolaires de Louis à SFX : 1950-51, 1951-52, 1952-53, 1953-54, 1954-55. Merci de nous les envoyer scannées en 300 DPI.

dimanche 16 novembre 2008

Départ à la retraite


Cette photo date probablement de juin 1978. Il s'agit sans doute d'une séance académique au cours de laquelle le P. Luigi Lefèbvre s.J. prononce un discours à l'occasion de la retraite de M. De Donder.

Cette photo provient d'un blog de souvenirs mêlant émotions et anecdotes drôlatiques, publié par Jean Janssen (voir liste de liens, à droite).

lundi 21 juillet 2008

Une bien trop brève nécrologie



Voici tout ce que "La Toque - Anciens", périodique de liaison des anciens élèves de SFX, publia dans son numéro 111 de juin 1995 (antidaté sans doute puisqu'il est décédé en juillet) lors de la mort de M. De Donder.
Peu de choses en somme, alors qu'il y aurait eu tant à dire...

Quelqu'un peut-il dire qui est la dame qui lui baise si dévotement la main ? Sa soeur ? Une admiratrice ?

M. De Donder est à cette époque en chaise roulante. Sans doute la photo a-t-elle été prise après l'une des opérations qu'il a subies à la jambe à partir de 1979, suite à des problèmes circulatoires, et qui ont fini par des amputations sucessives.

Une dédicace


J'avais reçu un livre de "perles" de professeurs recueillies par Stéphane Steeman et je m'étais amusé à en faire dédicacer les têtes de chapitre par mes profs. Voici celle de M. De Donder.

La phrase en latin signifie littéralement : "Tu riras et il t'est permis de rire".
Autrement dit : "Tu vas rigoler, et il y a de quoi !"








dimanche 20 juillet 2008

Les rites : le florilège

Louis De Donder était très épris de poésie et s'efforçait de dégrossir nos esprits de petits barbares pour les y rendre perméables. Je ne sais quels effets ses efforts ont eus sur vous... Pour ma part, je n'ai été sensible à ces textes que bien plus tard, en les relisant.
J'ai pourtant été touché à l'époque par quelques vers qui pouvaient résonner dans un coeur d'artichaut de 15 ans.

Par exemple :

Un nom cher fut gravé sur un arbuste frêle.
L'arbre, aujourd'hui géant, a cent fois reverdi.
Vois : sur le tronc rugueux les lettres ont grandi,
Tel, dans un coeur aimant, un souvenir fidèle.
(François Copée)

Ce poème, et bien d'autres, il nous les faisait copier dans un "florilège", collection de fleurs de littérature poétique qu'il avait cueillies pour nous au fil de ses lectures. L'occasion aussi de nous apprendre un nouveau mot, de nous en faire deviner les racines latines (flos, floris - legere). Tout lui était prétexte pour nous initier à quelque chose.

J'ai retrouvé, en piteux état, mon "cahier de florilège". Derrière l'affreux motif "années septante" imprimé sur la couverture en vinyle, se trouvent encore, tachées, pâlies, des fleurs sans âge. Mais au parfum intact.

Je vous les livrerai ici petit à petit, en commentaires de ce message.

vendredi 18 juillet 2008

4e Latin-Grec, 1974-75















"Quatrième" année, ancienne numérotation rétrograde, c'est-à-dire troisième dans l'ordre chronologique.

Louis a 61 ans.

Au premier rang, de gauche à droite : Jean-Luc Fransen, Jean-Philippe Delhez, Marc Bovy, "Dedon", Jean Collard, Pascal Meessen, Franck Dejardin.

Au deuxième rang, de gauche à droite : Daniel Vielvoye, Benoît Malvaux, Jean-François Hannotte, Francis Schmets, René-Philippe Croquet, Patrick Bartholomé, Henri Fauconnier (+), Jean-Marie Bolland.

Au troisième rang, de gauche à droite : André Derome, Benoît Jaspar, Emmanuel Weerts, Didier Petit, Michel Degueldre.

A la Saint-Nicolas des élèves

Cette photo a été prise en décembre 1975.
Remarquez que Dedon a littéralement quitté le sol... Il est ici occupé à interpréter un poème bien connu de son répertoire personnel, épreuve imposée par Saint-Nicolas et ses acolytes. N'était-ce pas une histoire où "deux boeufs blancs bavaient...", que Dedon ne manquait jamais de mimer en classe ?...

Au moment où les élèves déguisés en "Jèses" l'ont convoqué sur scène pour s'acquitter de la pénitence exigée par Saint-Nicolas, Jean-Paul Adam, assis à côté de moi, cria : "Vas-y Loulou, c'est pour la France !"
Allusion au fait que Dedon était un grand francophile, nous aurons l'occasion d'y revenir.

Dans le rôle des faux abbés, à droite, sous le bras de Dedon, Stéphane Junker et plus à droite... qui ?
A gauche, Vincent Bels et derrière lui, c'est peut-être Pierre Counet.

Lambeaux d'une biographie

Tout ce que je sais de sa vie privée, c'est qu'il était célibataire, qu'il était originaire de Thuin, où il avait une maison (natale ? de famille ?), occupée par sa soeur, laquelle est décédée quelques années avant lui.
Qui peut compléter ce tableau si bref par quelques commentaires ?

Appel à témoins !


Avez-vous connu Louis De Donder, autrefois professeur au Collège Saint-François-Xavier (Verviers). Etiez-vous un de ses élèves, un ami, un collègue, un parent ?... Possédez-vous des photos de lui ? Voulez-vous partager vos souvenirs avec nous ?
Ecrivez-nous !