Photos de classe manquantes

A vos archives ! Il nous manque 5 photos de classe (sur 28) des années scolaires de Louis à SFX : 1950-51, 1951-52, 1952-53, 1953-54, 1954-55. Merci de nous les envoyer scannées en 300 DPI.

dimanche 20 septembre 2009

Tabulam spectamus


Ceci devrait rappeler de sacrés souvenirs à la plupart de ceux qui sont passés par le Collège dans les années 60 et 70.
Il s'agit de la première leçon du célèbre manuel "Le latin en sixième" du Père van Rijckevorsel. Ce savant Jésuite a enseigné à SFX, ai-je appris lors de mes recherches pour ce blog. Il se trouve sur cette photo.
Un ancien élève de Louis peut-il nous faire savoir s'il utilisait ce manuel quand il était titulaire de sixième ?

Pour ma part, j'avais ce manuel en 1972 dans la classe de sixième du Père Léon Van der Biest.
Plus bas, voici sa couverture.

4e Latin-Grec 1972-73


4e Latin-Grec 1972-73 (ancienne numérotation rétrograde).
Louis a 59 ans.


1er rang, assis :

M. Paquet, Ph. Colette, J.-M. Breda (+), Louis De Donder, Th. Ortmans, D. Grignard, B. Génicot.

2d rang, debout :
M. Gonzalez, P. Counson, J. -L. Undorf, E. Dejace, Y. Collard, J.-M. Bertrand.

mardi 8 septembre 2009

6e Latine B 1958-59


6e Latine B 1958-59 (ancienne numérotation rétrograde).
Louis a 45 ans.

Les noms sont actuellement perdus. Merci d'ajouter ceux que vous connaissez, par un commentaire ci-dessous.

lundi 7 septembre 2009

Haïku


Puisqu'il le faut
entraînons-nous à mourir
à l'ombre des fleurs

Kobayashi Issa (1763-1828)
(Haiku, trad. Corinne Atlan et Zéno Bianu, p.59, nrf, Poésie/Gallimard, 2002)












Pourquoi un haïku ?
Je le dirai.
Un jour.

6e Latines A et B 1957-58

6e Latine A

L'année scolaire 1957-58, Louis est titulaire des deux 6e Latines !
Malgré la taille respectable de chaque classe, ceci n'effraie pas notre héros, qui, à 44 ans, est dans la force de l'âge.


Quelqu'un peut-il expliquer comment s'organisait cette double classe ? Le deuxième enseignant présent sur la photo était-il un suppléant ?


Les noms des élèves de ces deux classes étaient perdus dans ce qui nous est parvenu des archives du Collège. Grâce aux contributions de Raymond Delhaye, Jean Janssen, Alain Peelen, et Pierre Jancloes (voir plus bas), voici les noms retrouvés :


1re rangée, assis, de gauche à droite :
André Vériter, André Magis, (Jean-Marie ?) Bertrand, Pierre Jancloes, M. Lucassen, Louis De Donder, ? David, (inconnu), ? Beckers, Ghislain Defraîne.


2e rangée, debout, de gauche à droite : (inconnu), Jacques Archambeau, ? Moray, Jacques Thiry, Michel Detrigne, Jacques Firquet, ? Andry, Rodolphe Visé, Yves Talbot.

3e rangée debout de gauche à droite : 

Charles Breuer, Jacques Poumay, ? Lodomez, Francis Pigeolet, Christian Fréhisse, Christian Félix, Michel Detrembleur, Jean-Michel Blaise.




6e Latine B



1re rangée, assis, de gauche à droite : 
Hubert Massa, Jean-Pol Bastin, (? Forthomme ?), Jean-Marie Zegels, Louis De Donder, M. Lucassen, Charly Halleux, (inconnu), ? Dohogne, Charles Wirth.

2e rangée, debout, de gauche à droite :
Alain Peelen, Olivier de Frahan ? (mis en doute par un commentaire ci-dessous), Jean-Marie Bertrand, Bruno Groulard, Michel Gillot, (inconnu), (inconnu), Patrick Pelzer, (Walther Licht ?), Paul Spatz, Michel Detry, Christian Lilien.

3e rangée debout de gauche à droite : 
Clément Héroufosse (ou Thierry de Bry ?), André Pirard, Jean-Paul (ou Alain ?) Dumoulin, Werner de Borghrave, Victor Allard, Clément Lauter, Regnier Pirard, Dany Petit, Antoine Simonis, (inconnu), (inconnu), (? Namur). 

dimanche 6 septembre 2009

6e Latine 1956-57



6e Latine 1956-57 (ancienne numérotation rétrograde).
Louis a 43 ans.

1re rangée, de gauche à droite :
Matthieu Thimister, Alain Peelen, Yves Talbot, (prénom ?) Marbaise, Louis De Donder, Jean-Paul Leclercq, Michel Pirard, Jacques Henkinbrant, Jean Gillot

2e rangée :
Edouard Simonis, Henri Schillings, Jean Pleyers, Jean-Marie Bertrand, Raymond Robert, Philippe Potel, Marc Chapelle, Jean-Marie Flamand, Guy Goffin, Guy Noirhomme

3e rangée :
Antoine Fléron, Jean-Marie Klinkenberg, Stany Renotte, Willy Henrotte, Jean Colin (ou Collin), Jean Mathieu, Jean-Paul Thijskens, Maurice Thenaers.

Particulièrement visibles sur cette photo, à l'arrière-plan, juste entre la tête des élèves du dernier rang : les pierres de taille sur le toit de la nef de gauche de l'église, de forme caractéristique.
Elles sont à vendre à présent...


samedi 5 septembre 2009

Allez, on se fait plaisir...

Une anecdote en chanson qui me revient par hasard :

un beau jour (de plus), je ne sais pas quelle association d'idées cocasse fit Louis en écoutant ce que disait un élève... mais ne voilà-t-il pas qu'il éclate de rire et se met à chanter en classe à tue-tête, les bras croisés à la cosaque et levant la jambe :


"
Elle avait une jambe en bois
Et pour que ça n'se voit pas
Elle faisait mettre par en d'ssous
Des rondelles en caoutchouc"

(Les amateurs du genre trouveront ici le texte intégral.)


C'était la première fois que j'entendais cette chanson : et pour cause, je suis né en 1960 et la chanson en 1908...
Mais j'ai eu l'occasion de
l'entendre à plusieurs reprises par la suite, à la radio, et il est inutile de dire qu'à chaque fois j'ai revu mon vieux professeur nous offrir une fois de plus un instant de folie, de fantaisie, de liberté...

On revient souvent sur ce blog, et on y reviendra encore, sur ces anecdotes délirantes qui ont fait de lui une légende vivante parmi les élèves (et parmi les parents, inquiets, à qui nous racontions ses frasques le soir en famille). Je voudrais préciser toutefois que Dedon n'était pas un clown, un gugusse ou un démagogue qui cherchait à amuser les élèves pour les mettre dans sa poche. C'était un vrai poète, que traversaient sans cesse des idées ou des images, parfois loufouques, certes. C'était un érudit, un humaniste, un passionné de littérature qui avait lu tant de choses, et dans tant de langues, le français, le latin, le grec, l'allemand... que son cerveau fourmillait de correspondances créatives entre ses innombrables sources.

Il nous faisait rire et nous riions avec lui. Pas de lui. Il riait sans doute parce qu'il était heureux en classe, heureux de donner cours, heureux de trouver du répondant en nous, son public, et de transmettre ce qu'il aimait.

N'est-ce pas lui encore qui cita cette réplique : "J'ai ri, me voilà désarmé" (*), lorsqu'un élève parvint, en le faisant rire, à se soustraire
à l'une de ses légendaires (et feintes, j'en suis sûr) colères ?

Alors, en hommage à sa joyeuse mémoire, faisons-nous plaisir en écoutant "La jambe de bois" chantée sur ce fichier mp3 par son interprète d'origine, Armand Ménard, dit Dranem (1869-1935).















(*) « J’ai ri, me voilà désarmé ! » in "La Métromanie", acte III, scène 7, d'Alexis Piron (Dijon, 9/7/1689 - Paris, 21/1/1773).

6e Latine 1955-56



6e Latine 1955-56 (ancienne numérotation rétrograde).
Louis a 42 ans.


Les noms sont partiellement perdus. Merci à Pierre Jancloes de les avoir complétés ci-dessous en partie.


1er rang, assis, de gauche à droite :
Thierry Proumen, 2 inconnu, 3 inconnu, Pierre Pluymaekers, 5 (?) Groenscheld, 6 inconnu, 7 Louis Dedonder, 8, 9, 10 et 11 inconnus, Jaccques Delpierre.

2e rang :
(?) Reul, 2 inconnu, Damien Godin, 4 inconnu, Pierre Geortay, 6 et 7 inconnus, Philippe Lejeune, Jacques Debaar, 10 inconnu, François Baudouin.

3e rang :
1 inconnu, Nicolas Domken, (?) Demoulin, 4 inconnu, Marc Gustin, 6 et 7 inconnnus, Max Vanhulst, 9 inconnu, (?) Jongen, (?) Baudouin, Jean-Marie Henkinbrant.

vendredi 4 septembre 2009

6e Latine B 1959-60



6e Latine B 1959-60 (ancienne numérotation rétrograde).
Louis a 46 ans.


Les noms sont actuellement perdus. Merci d'ajouter ceux que vous connaissez, par l'ajout d'un commentaire.

jeudi 3 septembre 2009

Le Père Dedondaire ?!?? ("Faridondon, faridondaine... " ?)




Grâce aux talents conjugués d'un(e) apprenti(e) journaliste qui ne vérifie pas ses sources et d'un océanologue à la mémoire sans doute légèrement oxydée par des séjours prolongés en milieu salin, voici Louis "Dedondaire" ordonné prêtre post mortem, et à l'insu de son plein gré, dans cet article de La Toque publié en juillet 1998.

Deux anecdotes parmi tant d'autres...

  1. Rentrée année scolaire 1973-74, premier jour, 4e Latin-Grec. Nous voilà devant notre titulaire, cet homme que la légende décrit comme coutumier de violents emportements, aussi imprévisibles qu’impressionnants, voire un peu effrayants pour qui ne le connaît pas un brin... L’homme nous souhaite la bienvenue avec des mots que j’ai oubliés, mais qui font sûrement – déjà – chaud au cœur. Et cela ne rate pas: submergé par je ne sais quelle émotion, LDD assène un coup de poing... magistral (!) à son bureau en bois rescapé d’on ne sait quel déluge! Celui-ci, qui en a vu d’autres, soutient le choc, dont l’estrade se charge d’amplifier les ondes sonores. Deux secondes plus tard, une double détonation vient ajouter à l’émotion ambiante: les deux portes du vieux bureau, dont les charnières ont été dévissées par le redoubleur de service (le regretté Jean-Marc Bréda), qui connaît bien LDD, s’abattent à grand fracas, bien à plat sur l’estrade. Stupeur générale... Louis s’est figé. Il prend une profonde inspiration tout en parcourant son public d’un regard chargé d’éclairs... Et soudain, après cinq secondes d’un silence intolérable, il se met à hurler: «Sabotaaage! Septembre Noir!»
  2. Un matin, «frère Louis» pénètre dans la classe avec sa tête des (très) mauvais jours. Sans nous regarder et sans mot dire, il va chercher une plante verte agonisante sur l’appui de fenêtre et la pose sur son bureau. Puis, il s'empare du seau (vide) du tableau et de l’éponge (sèche) et les expose de même à nos yeux effarés. Cela fait, il nous toise et nous lance un solennel: «Messieurs, il y a un point commun entre ces trois objets!» Chacun se torture les méninges et attend l’orage inévitable. Et Dedon d’exploser, balayant le tout d’un geste large: «Ça fait au moins trois semaines qu’aucun des trois n’a plus reçu une seule goutte d’eau!»